
être vivant*, c’est ressentir…

*Du lat. vivere: « être en vie; être animé, doué de vie », « jouir de la vie ».

Je suis VijayaSree
BONJOUR

Passionnée d’évolution et éternelle amoureuse de la magie de la vie, je suis là pour vous inspirer à vivre selon la justesse de votre âme.
La fondation de mon partage est une compréhension holistique du monde, basée sur la sagesse des traditions millénaires, les merveilleuses percées modernes en neurosciences et psychologie, ainsi que mon propre parcours de vie, magique et chaotique.
J’ai voyagé dans de nombreuses disciplines comme j’ai voyagé de par le monde, le cœur en avant, avide de connaissances, d’expériences, de réponses… J’ai principalement vécut en Europe et en Asie. J’ai beaucoup dansé, écrit, massé, prié. J’ai étudié la littérature, le théâtre, la poésie des corps en mouvement, le language des émotions et du système nerveux, le yoga traditionnel et thérapeutique, l’art de la méditation, le tantra de lignées féminines, l’ayurveda et la médecine traditionnelle chinoise… Partout, toujours, de toutes les manières, je ne peux m’empêcher d’étudier l’incroyable mystère et magie de l’humain et de son rapport à la Vie (c.à.d. à lui-même, aux autres, au Cosmos).
Mon approche a en son centre la révélation, par la voie du ressenti, de notre sagesse innée personnelle. Celle qui nous a toujours habité et nous habitera toujours, de corps en corps. Celle présente dans nos chairs, celles de nos lignées, de notre terre.
Le ressenti est une voie de connaissance directe riche et subtile bien que complexe. La médecine actuelle découvre encore chaque jour de nouvelles nuances aux messages de notre esprit, de notre corps, de nos émotions… là où les médecines traditionnelles et voies spirituelles ont depuis longtemps de profonds éclairages à nous offrir sur la compréhension de notre être et l’importance de vivre en harmonie avec soi-même et le monde qui nous entoure.
C’est tout cela que je souhaite vous partager ici, avec simplicité, bienveillance et douceur.
Thérapeute pluridisciplinaire, gardienne et passeuse de ces sagesses récentes comme intemporelles, mon rôle est de vous inspirer à trouver votre propre voie. De vous guider un temps si besoin. De vous célébrer telles que vous êtes et d’être sage-femme de celles que vous serez.
Cela ne peut toutefois se faire sans confiance, alors en toute transparence voici quelques bribes décousues de la tapisserie en constante confection que fut ma vie jusqu’à ce jour…

Danseuse de mots
Tisseuse de renaissance
Mon enfance fut nichée au sein de la campagne française, à l’ourlet des montagnes, quelque part entre la roue des quatre saisons et les baisers des cinq éléments.
Elle fut principalement marquée par trois piliers transformateurs : la nature et la danse ; la lecture et l’écriture ; le théâtre et la recherche d’identité. Le tout sous-tendu par la même conscience d’une reliance de l’humanité au grand Tout, quelle que soit sa forme. Que dans toute chose, une autre dimension, infinie, nous ramène tous à la même source d’existence. Et que toute forme de vie, en parfaite adéquation avec la cyclité du monde, est en perpétuel changement et se transforme au travers de milliers de vies-morts-vies.
Cet amour de la terre, du corps, des mots et des silences, de l’indicible qui relie par l’invisible mais qui pourtant peut être senti et perçu dans l’esprit et la chair… cet amour de la vie et de son étourdissant mystère, je l’ai toujours porté au creux de moi.
La nature est un temple*
La nature fut mon premier temple, ma véritable église, mon éternel lieu de refuge et de recueillement. Mon lieu d’expansion et de repos.
Bien avant de pouvoir avoir la conscience du sacré, mon lien à la nature et au vivant était inné et viscéral. Une évidence naturelle et instinctive. Une sagesse primaire et spontanée.
Nul besoin alors de la révérer par des préceptes complexes et civilisés.
Simplement, je la vivais et la laissais me vivre. Nous étions un même corps, un même souffle.
Et ce n’est que lorsque j’ai commencé à la perdre, en moi, sous les coups répétés de l’Éducation, qu’est née, comme une rebellion secrète, une abîme de nostalgie qui m’a rongé le cœur pour chaque souffle perdu loin du sein maternel de Terre Mère. M’a assombri l’âme et sacrifié tout un monde de reliance au vivant pour être « à ma place » dans un système éducatif patriarcal réducteur et autophage.
Heureusement l’esprit lui, pouvait toujours voler…
Dans la violence des jours
et leur douceur éthérée
je cherche ma place
* extrait du poème « Correspondances », de Charles Baudelaire - Les Fleurs du Mal, 1857



Danse sur le fil
Heureusement, quelque part dans l’océan de contradictions du monde, il y a eu la rencontre avec la danse.
Avec la possibilité de se sortir du corps ce qui crie. De ressentir à nouveau les choses.
Et la possibilité, sur scène une fois par an, de pouvoir laisser toute la lumière du dedans sortir sans peur d’en « faire trop » ou d’invisibiliser les autres. De pouvoir se laisser briller sans réserve quelques minutes, avant de revenir à l’étroite sécurité du conformisme.
Et puis comme mon amour violent et dévorant pour la nature, ça aussi, il fallut l’arrêter…
Après 10 ans à rêver d’être ballerine, la perte de ce dernier bastion de vie fut dévastateur.
Aujourd’hui je comprends « la danse » bien autrement…
Je comprends que, avant même de savoir danser, je dansais.
Que j’ai toujours dansé. Avec la nature et l’invisible, avec mon corps et ses émotions, avec les mots et l’infinitude de l’imaginaire, avec les autres et avec le monde…
Amante insatiable, j’ai toujours fait l’amour à la vie dans tous ses cycles… printemps, été, automne, hiver; naissance, évolution, déclin, dissolution… encore et encore, jusque’à en perdre le souffle. Jusqu’à en perdre le nord, perdre la tête pour mieux regagner la foi. Pour mieux renaître à la découverte de ce que je suis.

Le poète est un pont
La lecture fut un intense coup de foudre au premier mot.
Elle vint enrichir mon monde, repousser les limites de mon univers, faire vibrer mon corps de mille émotions nouvelles. Elle fut une vaste fenêtre de compréhension des lumières et des ombres, et de toutes les possibilités de la nature humaine.
Face à l’appauvrissement de ma propre vie, elle dû malheureusement se transformer un temps en échappatoire à la misère de la déconnexion à la nature, en tentative de reliance imaginaire au vivant et aux émotions qu’il était maintenant clair que je n’avais pas le droit d’exprimer.
Mais cela ne suffisait pas à panser la plaie.
Il fallait exprimer… faire sortir.
Le plaisir d’écrire devint urgence…
La poésie se fit torturée, image fidèle de son autrice.
Et de ce débordement, de tous ces mots qui me tordaient le ventre et me sortaient des côtes, s’échappa une voix autre que la mienne : la poésie retrouvait parfois son originaire statut d’oracle, et je compris à nouveau, qu’en nous réside une capacité de lien à la Vie bien au-delà des limites de soi. Et que cette source de connaissance est infinie et participe toujours, même sans notre conscience, au tissage de la toile de notre existence. De toute existence.
Traditionnellement, le poète était oracle, shaman, sage, voyant.
Ancré dans le présent, il est le pont entre le passé et l’avenir mais surtout, un lien oraculaire entre Dieu et les hommes.
Je dis ici « le poète » au sens neutre bien sûr… mais relisons cela au féminin, voir si cela ne vibre pas plus fort en nous…
La poètesse est oracle, shamane, sage, voyante.
Incarnée dans le présent, elle est le pont entre passé et avenir. Lien oraculaire entre la Nature (le Cosmos, le Divin) et les êtres humains.
Elle est sorcière donc. Femme de sagesse et de ressenti. Femme d’intuition et de connaissance. Elle participe à l’équilibre du monde en suivant sa propre voie.
Mais qu’elle était donc ma voie ?…
Compter les jours
à l’ombre de mon âme
muettes prières
D’errance en détours
mes espoirs de pâment
creusant des ornières
Où coulent sans cesse
les chaudes tristesses
de mon cœur esseulé
Où chaque lendemain
me laisse le ventre plein
de rêves avortés



Mille et une vies
Après avoir traversé en esprit des milliers de vies à travers les livres, c’est à travers le corps que je vécus les suivantes… Le théâtre revint mettre ma corporalité sur le devant de la scène. Il vint relier mots et chairs, et redonner du reliefs à une vie aplanie par les exigences inhumaines d’une société dominatrice et malade.
Il m’offrit un champs d’exploration à l’horizon infini où toute recherche était possible, où l’imaginaire pouvait enfin prendre forme, ou nous pouvions ensemble créer du sens et manifester une vision commune, faire vibrer les cœurs et élever les consciences.
Il fut une nouvelle église invitant la reliance à quelque chose d’autre que moi : les autres oui, le public oui, mais aussi chaque rôle, canalisé dans mon ventre comme une nouvelle conscience capable de me piloter sans ma volition.
Mais le théâtre fut aussi un amant narcissique et jaloux. Il me rua de coups. De « coups de théâtre », mais pas seulement. L’abus et la malveillance y étaient partout, collaient à tous les coins d’ombres, me tiraillant de-ci, de-là tel un pantin de sang et sentiments. Me demandant chaque jour de venir étirer et morceler un peu plus mon âme pour prêter, quelques instants seulement, vie à une autre entité en souffrance.
Exploitée, maltraitée, rabaissée, écrouée de maux, les coulisses de ce métier n’avaient rien du lumineux éclat artificiel de la scène.
Après mille et unes vies de gloire et de souffrance, mon corps et mon cœur n’en pouvaient plus.
Il était temps de faire le deuil de cet autre rêve et d’enfin oser pleinement suivre une autre voie qui vibrait déjà en moi depuis longtemps, m’appelant plus fort que jamais.
Que ma bouche et mon coeur, et tout ce que je suis,
Rendent honneur au Dieu qui m'a donné la vie.
Jean Racine - Esther, Acte II, Scène VIII
La voie aux mille voix
C’est aux pieds d’Amma que je vins déposer et reposer mon âme perdue. En France d’abord, puis dans le tourbillon d’amour et de folie de son ashram, en Inde.
Là que mon cœur commença à se panser. Dans les sourires, le service et la dévotion. Dans la foi que mon avenir dansait déjà au loin, que le chemin se dessinait pas après pas, et qu’il ne me fallait que le courage d’oser avancer même sans encore le distinguer clairement.
À tâtons dans l’ignorance, mon ressenti intuitif pour seule boussole, j’ouvris enfin les bras à l’inconnu et me laissais plus pleinement guider par la sagesse du dedans.
L’intuition pour seule guide, j’ai ondulé pendant plusieurs années entre la France, la Thaïlande et l’Inde, avide toujours de tout explorer, tout comprendre, tout ressentir afin d’incarner ce que j’ai toujours su être née pour transmettre.
Par le biais de la danse, du théâtre, de l’écriture, comme par mes formations thérapeutiques et spirituelles variées et continues, j’ai compris que ma recherche par tout-azimut avait un sens, un lien commun et tangible : l’amour de l’humain et sa juste place dans la toile dansante de la Vie (c-a-d son rapport à soi-même, au monde et au Divin).
Il est autant de voies qu’il est de pratiquants.

Dharma
Tout ce que j’avais précédemment appris ou exploré dans ma
spiritualité et les formations holistiques variées que j’avais déjà
suivies pu alors doucement prendre racine en moi.
J’ai ainsi compris que j’avais toujours été une traductrice du
corps, des émotions et sensations, des mots et des silences…
une interprète du monde invisible… une oreille sensible
pour les voix cachées du dehors comme du dedans.
Le ressenti est une voie de connaissance directe riche et subtile.
Que j’ai toujours portée en moi.
Que je suis là pour t’aider à révéler en toi.
Es-tu prête ?
Prête à suivre ta voie ?
Si oui, je serai ravie de te rencontrer, car notre tribu de femmes est ouverte et infinie.
Ensemble.
L’une pour l’autre.
L’une par l’autre.
Détachons nos cheveux.
Libérons-nous des injonctions.
Relions-nous à la sagesse intuitive dans nos chairs.
La voie du dedans sait toujours.
Osons utiliser nos voix, nos corps.
Aimer librement et vivre pleinement.
Et profondément enracinées dans l’or de la même terre, éveillons nos cœurs et étendons nos bras pour embrasser la vie avec délice et confiance.
Et toi, à quoi ressemble le chemin qui t'a mené à être celle que tu es aujourd’hui ?


ŚRĪṂ ou shreem (prononcé "chriim") est le bīja mantra de l'amour, de la dévotion, de la foi, et de la beauté. Associé au Cœur et dédié à Lakshmi, Déesse de la Beauté et de la Grâce Divine, il nous permet de nous unir à l'objet de notre désir le plus pur et de nous en remettre à la Vie. Doux et lunaire, sa récitation permet d'imprégner nos sens de la beauté et du plaisir divins.
Selon la science Ayurvedique, Śrīṃ est un mantra de type Kapha (mêlant eau et terre) nous offrant santé, bonheur, fertilité, amour et sérénité. Il est particulièrement important pour la santé des femmes, nourrissant profondément les organes reproducteurs. Adoucissant l'esprit et le cœur, il calme les émotions, et nous permet de nous (aban)donner entièrement à la Grâce Divine.
Selon les sciences Védiques Śrīṃ est un mantra lunaire (soma mantra) apportant amour, joie, béatitude, beauté et délices. Porteur de l'éclat de la Lune il nous purifie tout en nous permettant d'intégrer tous les aspects de notre nature, les transformant en pur nectar (ambrosia).
Source : American Institute of Vedic Studies - www.vedanet.com

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